La Belle au Bois Dormant
La compagnie François Mauduit présente LA BELLE AU BOIS DORMANT, ce merveilleux ballet mythique et féérique, dans la lignée des grandes œuvres du répertoire classique. Un véritable conte de fées qui allie la grande technique de la danse et la splendeur de la partition de Tchaïkovski.
Pas de deux, corps de ballet, mise en scène, théâtralité, brio et costumes étincelants sont les ingrédients de ce chef-d’œuvre chorégraphique et musical.
Cette version qui mélange les grands moments de la chorégraphie originale et une création chorégraphique, inventive et sincère, passionnée et amoureuse, est un doux retour en arrière et une plongée dans des souvenirs parfois enfouis par le chorégraphe et qui ressurgissent par bribes dans le studio de la compagnie certains jours.
Quel bonheur de retomber dans la magie de l’enfance avec François Mauduit, guidé par des parents artistiques d’exception que sont Petipa et Tchaïkovski, et avec pour camarades de jeu les danseurs que le chorégraphe admire tant !
Chorégraphie d’après la version originale de Marius PETIPA : François MAUDUIT
Musique : Piotr Ilitch TCHAÏKOVSKI
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François MAUDUIT nous explique son amour pour LA BELLE AU BOIS DORMANT :
“J’ai rencontré la danse à travers le ballet « La Belle au bois dormant ».
J’ai rencontré « La Belle au bois dormant » à travers la magie du théâtre.
J’ai rencontré la magie du théâtre à travers mes jeux d’enfants.
J’ai rencontré la danse à travers le théâtre.
J’ai rencontré « La Belle au bois dormant » à travers la danse.
J’ai rencontré le rêve à travers « La Belle au bois dormant ».
J’aurais pu me marier à la Belle, j’aurais pu épouser Tchaïkovksi, je suis finalement devenu danseur, je suis tombé amoureux de la danse et j’ai épousé la chorégraphie mais je n’ai jamais fait d’infidélité à la partition de Tchaïkovski qui sommeille en moi depuis toujours, à cette princesse qui plane au-dessus de mon âme et à ce ballet qui reste à mes yeux le rêve absolu.
Ces souvenirs ressurgissent en voyant les danseurs de la compagnie avec qui je travaille avec fougue. Je les dédouble, je revois mes petites figurines de playmobil que je faisais danser et je les assimile aux danseurs et à mes rêves d’enfant qui parfois m’ont fait grandir et qui, fort heureusement, m’ont aussi protégé d’une vie d’adulte que je trouvais trop terne face à la magnificence de ce ballet“.
Photographie : ©Yann Gouhier